La persévérance, Martine Marois connaît ça. Ce n’est pas la maladie cœliaque, des soucis financiers ou des défis professionnels qui empêcheraient l’athlète de 45 ans d’aller toujours plus loin, plus haut. Rencontre avec l’ultra-marathonienne de 45 ans, première québécoise à avoir complété le Tor des géants.